Introduction Human Rights Observers

Human Rights Observers (HRO) est né en 2017 en tant qu'organe d’observation, et projet inter-associatif.

Son objectif est de documenter et de dénoncer la violence d'Etat perpétrée contre les personnes exilées à la frontière franco-britannique, à Calais et à Grande-Synthe.

Qui sommes-nous ?

Face à l’augmentation du nombre de témoignages de personnes exilées dénonçant des violences policières en 2017, HRO a depuis pour mission d’être présent autant que possible lors des opérations de police afin de documenter ces pratiques et d’exercer une forme de dissuasion contre celles-ci.

En plus de ces observations, les personnes qui vivent dans les camps rapportent souvent avoir été victimes de nombreuses violences policières.

Qui sommes-nous ?

Face à l’augmentation du nombre de témoignages de personnes exilées dénonçant des violences policières en 2017, HRO a depuis pour mission d’être présent autant que possible lors des opérations de police afin de documenter ces pratiques et d’exercer une forme de dissuasion contre celles-ci.

Suite à ces observations les personnes qui vivent sur les campements nous rapportent de nombreux faits de violences policières dont elles sont victimes et nous les accompagnons alors dans leurs démarches, souvent en binôme avec La Cabane Juridique.

HRO Human Rights Observers Notre mission Qui sommes-nous ?

Comment travaillons-nous ?

Personne écrivant sur une feuille de papier

Approche 1

Collecte des données

Personne tapant sur un ordinateur portable

Approche 2

Analyse des données

Personne tenant un mégaphone

Approche 3

Plaidoyer

Personne tenant un marteau de juge

Approche 4

Travail juridique

Les observations se font avec des équipes de deux personnes, parfois plus, et interviennent chaque jour à Calais et du lundi au vendredi à Grande-Synthe. À cette fin, les membres de l’équipe reçoivent diverses formations.

Notre travail est largement divisé en quatre approches complémentaires. Premièrement, nous collectons des données relatives aux opérations de police, concernant principalement les expulsions forcées des lieux de vie informels. Ensuite, nous utilisons ces données pour analyser la politique de l'Etat en matière de lutte contre les points de fixation* à la frontière sous l'angle des droits humains. Par la suite, nous menons un travail de plaidoyer par différents moyens afin de dénoncer la politique menée par les autorités françaises et britanniques. Nos juristes travaillent également en étroite collaboration avec d'autres associations opérant à la frontière franco-britannique et des avocats afin de contester la violence de l'Etat sous toutes ses formes (actes individuels de violence policière, vols institutionnalisés, expulsions, opérations de mise à l'abri forcée, discriminations...).

*La politique dite de " lutte contre les points de fixation " consiste en l'anticipation systématique par l'État des expulsions des campements informels à la frontière afin d'empêcher la création de tout ce qui ressemble à des espaces de vie plus permanents. Lorsqu'un espace de vie est créé, les forces de l'ordre sont systématiquement déployées afin de l'expulser.

Les observations se font avec des équipes de deux personnes, parfois plus, et interviennent chaque jour à Calais et du lundi au vendredi à Grande-Synthe. À cette fin, les membres de l’équipe reçoivent diverses formations.

Notre travail est largement divisé en quatre approches complémentaires. Premièrement, nous collectons des données relatives aux opérations de police, concernant principalement les expulsions forcées des lieux de vie informels. Ensuite, nous utilisons ces données pour analyser la politique de l'Etat en matière de lutte contre les points de fixation* à la frontière sous l'angle des droits humains. Par la suite, nous menons un travail de plaidoyer par différents moyens afin de dénoncer la politique menée par les autorités françaises et britanniques. Nos juristes travaillent également en étroite collaboration avec d'autres associations opérant à la frontière franco-britannique et des avocats afin de contester la violence de l'Etat sous toutes ses formes (actes individuels de violence policière, vols institutionnalisés, expulsions, opérations de mise à l'abri forcée, discriminations...).

*La politique dite de " lutte contre les points de fixation " consiste en l'anticipation systématique par l'État des expulsions des campements informels à la frontière afin d'empêcher la création de tout ce qui ressemble à des espaces de vie plus permanents. Lorsqu'un espace de vie est créé, les forces de l'ordre sont systématiquement déployées afin de l'expulser.
HRO Human Rights Observers Notre mission Comment travaillons-nous ?

Nos partenaires

Human Rights Observers est une organisation de base indépendante qui ne reçoit aucune subvention de l'État.

Merci à nos contributeurs financiers, donateurs et partenaires sur le terrain de nous aider dans notre mission quotidienne et de maintenir l'indépendance de l'association.

Les contributeurs financiers

Merci à nos contributeurs financiers qui nous permettent de poursuivre notre mission.

Donateurs

Merci à tous ceux qui ont fait un don sur notre page de crowdfunding Hello Asso.